Le n°8 du XV de France, Sébastien Chabal est devenu une légende vivante du rugby. Deux redoutables All Blacks, terrassés lors de la tournée en Nouvelle-Zélande en juin 2007, figurent notamment à son tableau de chasse. Ces plaquages dévastateurs ont marqué l’histoire du rugby international et ont propulsé Chabal au sommet de la notoriété.
Chabal met deux All Blacks au tapis
Chris Masoe puis Ali Williams une semaine plus tard !
Chabal a laissé le monde du rugby bouche bée avec ces deux énormes plaquages qui ont immédiatement fait le tour de la planète. Les images de ces moments incroyables ont trouvé leur place dans le top 30 des vidéos de rugby les plus vues de tous les temps sur YouTube.
Un plaquage, une attitude de guerrier : Chabal est devenu une véritable star mondiale en un plaquage. Et ce n’était pas fini !
Même les All Blacks, l’équipe la plus prestigieuse du rugby, ont exprimé leur admiration pour Sébastien Chabal. Duncan Johnstone, journaliste sportif néo-zélandais réputé, a déclaré que les All Blacks avaient beaucoup d’admiration pour Chabal dans son approche du jeu. Le tatouage maori sur la cuisse gauche de Chabal témoigne, de son côté, du respect qu’il témoigne pour la culture rugbystique néo-zélandaise.
Sébastien Chabal : un Dieu du Stade pas comme les autres
Chabal possède des qualités physiques hors du commun, selon Pierre Raschi, directeur sportif du CSBJ. Il est l’un des rares joueurs au monde à détenir de telles capacités physiques. Son travail en musculation et ses records aux tests de force ont marqué sa carrière.
Raphaël Saint-André, frère de l’ancien capitaine du XV de France, Philippe Saint-André, estime que Chabal a le profil pour « faire basculer un match sur un exploit« . Il est considéré comme un « impact player » capable de dynamiter une défense à lui tout seul.
Le look distinctif de Chabal avec ses cheveux longs et sa barbe noire soigneusement entretenue lui a valu de nombreux surnoms dans le monde. Comme en Nouvelle-Zélande et en Angleterre, on le surnomme « Caveman« , soit l’homme des cavernes. En Afrique du Sud, on l’appelle « The French Beast »… Tout simplement.
Basketteur de moins d’1m80, j’ai troqué mes Air Jordan contre un clavier et des binocles. Je rédige des articles de news sur tous les sports collectifs, rugby et foot en tête. Indépendance toujours, neutralité jamais.